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mardi, 22 mai 2012
Par Eric Beauvillain le mardi, 22 mai 2012, 10:31 - ................2012
Le festival Skenado se tiendra à l'Espace Gérard Philipe de Saint André les Vergers, du mardi 22 mai au vendredi 25 mai 2012 !
Cette année, pas de gazette, d'interviews, de commentaires, d'avis, de photos...
Mais n'hésitez pas à venir laisser vos commentaires sur ce billet !!!!! C'est libre antenne !!!!
lundi, 30 mai 2011
Par Eric Beauvillain le lundi, 30 mai 2011, 13:45 - 2011 - N°4
Alors qu'il reste de nombreuses choses à faire, des bilans, de nouvelles organisations, je ne peux m'empêcher d'aller toquer à la porte de madame Derouillac pour lui poser quelques questions...
Très satisfaite. Les prestations étaient de qualité, les retours des professeurs, des élèves et des intervenants sont positifs.
- Des prestations de qualité, malgré des conditions de préparation parfois un peu difficiles. Certains élèves n'avaient pas eu l'occasion de répéter à l'espace Gérard Philipe avant le festival et découvraient donc le plateau, d'autres ont dû faire face à une défection de dernière minute...
- Le nombre de classes impliquées dans ce festival, 25 classes, plus de 650 élèves, comédiens et spectateurs confondus!
- Le renforcement des liens entre l'espace Gérard Philipe et le collège de La Villeneuve, tout proche : de nombreux élèves impliqués cette année en tant que spectateurs, puis comme comédiens l'an prochain...
La programmation : le nombre de classes participant au Projet Artistique Globalisé théâtre étant encore très élevé l'an prochain, il faudra limiter la durée des représentations pour tenir dans le temps imparti et respecter des contraintes horaires fortes.
La diversité des propositions s'est faite d'elle-même. Ce sont les professeurs qui ont saisi l'opportunité du festival pour valoriser les réalisations de leurs élèves. J'espère que les prochaines éditions du festival permettront encore de souligner la qualité et la créativité des projets artistiques.
Quatre moments forts :
- l'ouverture le mardi matin, l'angoisse des jeunes comédiens du collège Amadis Jamyn avant de monter sur scène et d'inaugurer le festival. Ensuite, leur fierté et le plaisir qu'ils ont eu à jouer dans leur collège le jeudi ;
- le changement de programmation le jeudi après-midi, l'assurance des élèves de terminale de l'option théâtre du lycée Edouard Herriot qui ont accepté sans hésiter de monter sur le plateau en début d'après-midi, ce qui réduisait considérablement leur temps de préparation ;
- la soirée tout public du jeudi soir, avec un programme varié, des prestations de qualité malgré une tendance aux fous rires en fin de soirée ;
- le plaisir des troisièmes du collège Albert Camus impliqués dans un projet "scénographie" avec Gingolph Gateau et Agnès Rossi, leur professeur d'arts plastiques. Ils ont pu apprécier sur une "vraie" scène les décors et les accessoires qu'ils avaient réalisés.
Encore un grand bravo à tous, élèves, enseignants, intervenants, pour la qualité du festival!
Et un grand merci à Olivier Bedel, le directeur de l'espace Gérard Philipe, et son équipe pour leur disponibilité.
Merci également aux partenaires du festival : le Conseil Général de l'Aube, la mairie de Saint-André les Vergers, le Crédit Mutuel Enseignants de Saint-André les Vergers.
Et merci à vous ! Rendez-vous au festival l'an prochain !
Par Eric Beauvillain le lundi, 30 mai 2011, 13:40 - 2011 - N°4
Le rideau tombe à nouveau sur la scène de l'Espace Gérard Philipe et le festival Skenado...
Cette année, encore plus dense que les précédentes, a vu vingt et un spectacles sur les trois jours et une soirée à deux spectacles.
Les spectateurs furent nombreux ; les comédiens, souvent radieux ; les gens, généralement heureux...
Et puis j'ai un peu craqué sur les photos avec près de 850 images sur le site...
Avec une centaine d'articles (merci au Dragon pour ses analyses et à Mme Derouillac pour le temps qu'elle m'a accordé), j'attends de vous une centaine de commentaires !
Alors en attendant l'année prochaine, lâchez-vous et dîtes-nous ce que vous avez pensé de ce festival !
vendredi, 27 mai 2011
Par Eric Beauvillain le vendredi, 27 mai 2011, 18:45 - 2011 - N°3
Au son de quatre musiciens jouant sur scène, la lumière se lève sur des arbres mouvants. Les jeunes comédiens du collège Paul Langevin de Romilly sur Seine nous prouvent alors que, bien avant Harry Potter, Merlin et Viviane savaient déjà lancer des sorts.
Dans une ambiance colorée de forêt, de monastère et de château, ils nous entraînent, pour la première pièce de la matinée et sous la direction de Sandra Palandri, dans la légende du roi Arthur.
Ainsi, nous découvrons comment celui-ci devint Roi en retirant Excalibur d'une enclume après que moult chevalier aient échoué et comment - car le texte est inspiré de "Yvain, Chevalier au Lion - un de ses chevalier apprivoisa un lion.
Dans une mise en scène légère et festoyante, les collégiens donnent vie aux personnages pour nous laisser (re)découvrir la légende comme si on y était.
Un simple paravent à roulette nous emmène dans divers décors laissant à l'envie et l'engouement des jeunes le soin de les faire vivre avec plaisir.
Tout était mis en œuvre pour nous donner l'impression de vivre en direct cette ascension au trône et les danses comme les petits récits à l'intérieur du grand, la fraîcheur des comédiens nous transportaient pour un instant dans la légende.
Les photos sont visibles ICI
Par Eric Beauvillain le vendredi, 27 mai 2011, 18:40 - 2011 - N°3
Un peu long mais c'était bien : les personnages, les décors, un peu tout...
Geoffrey, Léa
Humoristique, surtout le lion et le serpent. C'était original comme histoire. C'était bien joué, quand même !
Fanny, Mylène
C'était mignon et intéressant d'avoir de la musique avec le théâtre. Un peu long quand ils passent tous retirer l'épée... Y'a pas vraiment de fin... Mais l'histoire de changement de décor, c'était bien, on voit mieux le changement de paysage. Les costumes, franchement ! Ils ont dû passer du temps... Le titre parlait de 'Yvan et le chevalier au lion' mais c'était plus l'histoire de Merlin et Arthur... Le principe des petites histoires dans l'histoire, c'était intéressant, ça donnait de la profondeur au récit. La mise en scène était bien. J'ai trouvé quelques petites longueurs, certains ne parlaient pas assez fort et n'articulaient pas assez mais j'ai bien aimé l'esthétique, c'était très sympa. Faire jouer aux élèves de leur instrument dans la pièce, leur montrer qu'il n'y a pas que le théâtre, c'est polyvalent, c'est bien
Ariane, Elodie, Marie, Marie, Emelyne
Bien mais cest long. C'est un peu raté parce qu'ils ont tout fait tomber (sic)''
Lola, Clémentine
C'était bien, marrant. La mise en scène était bien faite, les changements de décors, sympas. Y'avait des gestes parasites et certains ne parlaient pas assez fort mais c'était bien.
Lolita, Marie
Déjà, ils sont beaucoup plus préparés que nous. C'était bien, dans l'ensemble. J'ai bien aimé leur rôle, les gestes et tout.
Clément
C'était un peu long. C'était bien mais il y avait un peu d'ennui parce qu'on connaît déjà l'histoire, y'avait pas de surprise. Sinon, les costumes étaient bien, la mise en scène... Pis ça changeait de décor.
Mathilde, Eva, Manon, Cécile, Lolita
Par Eric Beauvillain le vendredi, 27 mai 2011, 18:35 - 2011 - N°3
Pas de réponse reçue au questionnaire du collège Paul Langevin de Romilly sur Seine. Mais maintenant que c'est passé, n'hésitez pas à commenter pour nous dire si c'était comme vous le pensiez ou non !
Par Eric Beauvillain le vendredi, 27 mai 2011, 18:33 - 2011 - N°3
Hey, tes bras, y sont chelous
On est obligé de faire la queue, ici, c'est pire qu'au cinéma...
Ouaaaah, c'est bleeeeeu
Par Eric Beauvillain le vendredi, 27 mai 2011, 18:30 - 2011 - N°3
Les élèves du collège Pierre Brossolette de La-Chapelle-Saint-Luc nous placent dès le départ dans la position d’œuvre d'art.
Dirigés par Ahmed Serend, ils défilent devant nous en visiteurs de musée, nous laissant assister aux petites scènes loufoques de Jean-Michel Ribes, allant de droite et de gauche, à deux ou en groupe, comme si nous étions un tableau accroché dans une galerie.
Scènes brèves, brèves qu'on pourrait entendre dans les musées, un extrait bref du texte plus long, tout se tient.
Et l'on sourit à voir ces comédiens investis passer au pas de course d'une salle à l'autre - alors qu'il gagnerait sûrement à aller un petit peu moins vite...
Mais si l'on sourit, on peut se demander si c'est d'humour ou de dépit tant les personnages dépeints sont incultes, des visiteurs au personnel du musée qui trouve que l'artificiel nous protège du naturel.
Une illustration plaisante qui pointe un doigt moqueur sur l'inculture qui gagne du terrain, servie par de jeunes comédiens un peu impressionnés mais qui se seront cultivés en venant aujourd'hui à Skénado.
Les photos sont visibles ICI
Par Eric Beauvillain le vendredi, 27 mai 2011, 18:25 - 2011 - N°3
C'était trop bien. C'était drôle, hyper bien, amusant... La façon de parler et tout... Bien scénique. Y'avait du pep's.
Lise, Erkan, Manon
Trop trop bien parce que c'était amusant
Filipe
Bien, très drôle. Le thème du musée, c'était bien, c'était moderne. J'ai bien aimé mais j'ai trouvé qu'ils parlaient trop vite, pas assez articulé, c'était dommage. Sinon, c'était bien.
Ludovic, zakaria, Dorian, Selim, Glynis
Bien, c'était trop drôle. C'était marrant. Bien parce qu'il y avait plusieurs scènes. Le fait que ce soit au musée, c'était bien.
Alexandre, Charly, Malaury, Alison
Les textes étaient géniaux mais l'interprétation, limitée... Ils récitaient, ne parlaient pas assez fort, n'articulait pas toujours... Le fait qu'ils soient obligés fait qu'on sent une moitié bien investie et l'autre non. Paul Gauguin, c'était très bien mais le reste, moyen. Dommage qu'ils ne mettaient pas assez de sentiments sur leurs paroles... Ils avaient des possibilités de se lâcher sur scène mais ils ne l'ont pas fait. Toutes les perspectives offertes n'ont pas été utilisée et on voyait un spectacle inabouti...
Ariane, Elodie, Marie, Marie, Emelyne
C'était trop bien mais parfois, ils ne parlaient pas assez fort ou trop vite. Y'en a qui articulait pas trop mais la pièce était sympa, originale.
Mathilde, Eva, Manon, Cécile, Lolita
Par Eric Beauvillain le vendredi, 27 mai 2011, 18:20 - 2011 - N°3
Pas de réponse reçue au questionnaire du collège Pierre Brossolette de La Chapelle-Saint-Luc. Mais maintenant que c'est passé, n'hésitez pas à commenter pour nous dire si c'était comme vous le pensiez ou non !
Par Eric Beauvillain le vendredi, 27 mai 2011, 18:17 - 2011 - N°3
Mireille !
Mireille...
C'était rigolo, Mireille...
Ça va trop vite...
Et moi ? J'ai pas le droit d'être interrogé ?
Par Eric Beauvillain le vendredi, 27 mai 2011, 18:15 - 2011 - N°3
Didier Gauroy nous pose la question dans la bouche des jeunes du LP Edouard Herriot de Sainte-Savine : boire et manger sont-ils si vitaux qu'ils excusent les excès ?
La réponse en deux parties commence par un châtelet noir dans laquelle s'agitent les marionnettes - vivant sous la main et la voix des comédiens - qui volent un boulanger pour se nourrir.
Tel est pris qui croyait prendre car les coquins, ces petites marionnettes façonnées par les élèves eux-mêmes, se feront finalement avoir et laisseront la place à la lecture.
Immobiles sur scène, on ne peut qu'écouter l'histoire de l'enfant d'une femme qui boit trop...
On reste là, désarmé face à ce témoignage qui semble sortir de façon anonyme, cri angoissant qui nous laissait impuissant.
Si la lecture aurait pu être encore plus poignante avec des sentiments plus appuyés dans la voix, on voyait bien que les jeunes s'investissaient dans l'exercice et tout le mérite leur revient d'être venus nous livrer ce texte sur scène.
Les photos sont visibles ICI
Par Eric Beauvillain le vendredi, 27 mai 2011, 18:10 - 2011 - N°3
J'ai trouvé courageux qu'ils osent monter sur scène malgré leurs difficultés. Cela dit, il y a des personnes qui n'ont pas de difficultés qui n'auraient pas osé... Le texte est assez lourd. Ce qui est dommage pour une lecture théâtralisée, c'est qu'il n'y ait pas eu plus d'intonation, des mimes à côté, des déplacements.... On dirait qu'ils découvraient le texte. Ils ont eu un peu d'originalité avec les marionnettes mais le sujet, c'est un peu glauque quand même, ils auraient pu choisir quelque chose de plus léger... On s'attendait à plus de mise en scène et à des textes un peu su par cœur.
Ariane, Elodie, Marie, Marie, Emelyne
Moi, j'ai trouvé ça touchant mais j'aurais aimé que ce soit plus théâtral. Et je pense que pour un public comme ici, ça a du être dur de capter leur attention.
Anaïs, Justine
J'ai pas trouvé ça bien : ça bougeait pas et c'était triste. C'était pas théâtralisé, on va dire.
Charly
On a l'impression qu'ils découvraient leur texte. Le truc des marionnettes, c'était bien, j'ai bien aimé.
Manon
C'était pas du théâtre... C'était un peu ennuyant : y'avait pas d'émotion dans le texte. Mais quand même, ils ont fait un effort pour monter sur scène, c'est pas facile.
Mathilde, Eva, Manon, Cécile, Lolita
Par Eric Beauvillain le vendredi, 27 mai 2011, 18:05 - 2011 - N°3
Pas de réponse reçue au questionnaire du LP Edouard Herriot de Sainte-Savine. Mais maintenant que c'est passé, n'hésitez pas à commenter pour nous dire si c'était comme vous le pensiez ou non !
Par Eric Beauvillain le vendredi, 27 mai 2011, 18:03 - 2011 - N°3
L'aut', y dit pareil pour avoir son nom sur le site...
Par Eric Beauvillain le vendredi, 27 mai 2011, 18:00 - 2011 - N°3
Comment résumer la prestation des jeunes du collège Charles Delaunay de Lusigny sur Barse ? Facile :
Mendiants, morts, brouhaha, mort, curieux, Manchester, gestes, curieux, huit, trois, curieux, gestes, chère madame, train, curieux, cher monsieur, geste, chaussure, sauveur.
Car pour peu que l'on ait l'esprit ouvert au théâtre de l'absurde, on se laissait entraîner par la mise en scène de Luc Lemonon qui nous emmenait partout à la fois, ne nous laissant ne nous attendre à rien et nous surprenant à chaque mot.
Et les collégiens semblent s'être laissé porte puisqu'ils jouaient pleinement ces textes "absurdes" de Ionesco ou Godot, les ponctuant de gestes et situations imageant parfaitement la folie logique du genre.
De belles images entrecoupaient les scènes, des mendiants de lumière aux morts qui se relèvent d'une phrase, de la cacophonie générale jusqu'au salut gestué.
Les effets de groupe efficaces, les paroles dîtes ensemble ne laissaient démarquer aucun comédien en particulier et dénotait un travail commun efficient.
La simplicité des actions, des gestes naturels, laissaient eux entrevoir un travail de précision et d'investissement personnel qui faisait plaisir avant d'aller se sustenter.
Les photos sont visibles ICI
Par Eric Beauvillain le vendredi, 27 mai 2011, 17:55 - 2011 - N°3
Très bien parce que ça bougeait bien, les filles étaient belles.
Charly
C'était bien, ils parlaient forts et ça bougeait. Ouais, c'était bien.
Alexandre
Bien mais on n'a pas très bien compris l'histoire. A la fin, il parle du Sauveur, on n'a pas très bien compris. J'aimais bien quand ils parlaient tous en même temps, c'était assez réussi. Sinon, c'était bien.
Glynis, Dina
Bien parce qu'ils faisaient un peu les foufous. Ils étaient bien dans leur rôle. C'était bien, la musique. Les saluts aussi, c'était bien.
Ilona, Valentine, Anaïs
Très bien mais y'a des scène où on n'a pas très bien compris.
Andric
J'ai pas trop aimé : j'ai pas compris ce qu'ils faisaient au début.
Théo, Arkan
J'ai beaucoup aimé, c'était intéressant. J'ai bien aimé l'image de départ, cette gestuelle de groupe. On ne s'attendait pas au texte qui arrivait. Le texte est sympa, drôle, l'espace scénique était bien organisé. Toute cette corporalité était bien, c'était pas juste la voix ; le corps était aussi impliqué. La mécanique de l'absurde était bien rendue avec les mouvements... Surprenant et intéressant.
Christine
J'ai bien aimé la mise en scène, c'était vachement bien. En plus, y'a un effort, on voit qu'il y a du travail derrière. J'ai trouvé ça intéressant, on voyait que c'était une troupe unie, bien investie. C'était original. On sent que le metteur en scène a laissé pas mal de place à l'impro, c'est bien quand tu bosses avec des collégiens. C'était plus intéressant quand c'était un travail de groupe que le dialogue.
Ariane, Elodie, Marie, Marie, Emelyne
C'était captivant. On les voyait motivés. On a vu des collégiens qui manquaient de voix par rapport à la grandeur de la salle et là, le metteur en scène a pallié ce manque en les faisant parler en même temps, bien synchro, c'était intéressant.
Aurélien
Par Eric Beauvillain le vendredi, 27 mai 2011, 17:50 - 2011 - N°3
Nous le sentons mal parce que nous avons peur de nous ridiculiser ; nous pensons ne pas avoir eu assez de temps pour nous préparer, nous avons aussi eu peu d’explications pour jouer. Le choix du théâtre de l’absurde nous a mis en difficulté.
Notre plus grande crainte est de ne pas savoir notre réplique au moment venu, qu’il y ait des “ blancs ”...
On espère faire passer le rire lié à l’incompréhension qui est le thème central de notre pièce (nous avons travaillé sur la difficulté à communiquer).
Nous n’attendons que de bonnes choses : de l’humour, de l’originalité dans les costumes, les mises en scène, des bonnes surprises.
La journée sera longue car nous allons être assis sans pouvoir nous exprimer mais sympathique car nous rencontrerons des jeunes de notre âge et rassurante aussi car nous verrons des élèves stressés comme nous.
On ne pense pas avoir le temps mais si on en a, on essaiera de faire des critiques constructives.
a/ Oui, on attend qu’on nous critique sur :
• la mise en scène
• la prestation
• la voix
• la qualité de notre mémorisation
• la timidité ou l’absence de timidité
b/ 19 élèves sur 24 pensent pouvoir accepter les critiques afin de s’améliorer si l’occasion d’un autre spectacle nous est donnée, au lycée par exemple.
Merci à vous pour vos réponses ! Et maintenant que c'est passé, n'hésitez pas à commenter pour nous dire si c'était comme vous le pensiez !
Par Eric Beauvillain le vendredi, 27 mai 2011, 17:47 - 2011 - N°3
Y'a une fille derrière qui dit "théâtralisé", y répète, y sait pas ce que ça veut dire...
La porte, s'ilvousplaîtmerci !
Par Eric Beauvillain le vendredi, 27 mai 2011, 17:45 - 2011 - N°3
Que font les jeunes comédiens du collège Le Noyer Marchand de Romilly sur Scène quand ils ne vont pas en classe ? Ils jouent une pièce qui se passent en classe.
Mais là s'arrête la ressemblance car il y a peu de chances pour qu'ils y retrouvent le fantôme d'une jeune fille vivant en 1944 comme dans la pièce de Gaëlle Claude !
Suite à un travail "commomératif" comme le dirait la dyslexique du groupe, une photo de ladite jeune fille est déchirée, ce qui la fait apparaître aux yeux des élèves - mais pas du professeur.
C'est le point de départ original qu'a suivi Sandra Palandri pour nous donner à voir une classe qui - espérons-le - n'existe pas dans la réalité !
Les jeunes - et leur professeur accompagnateur, Jérôme Evrard - s'en donnent à cœur joie sur scène pour faire vivre l'intrigue, se lancer des boulettes et user de leurs talents, rappant sur scène ou dansant (timidement) la Dance.
Si on a pu sentir un ou deux blancs avec des regards appuyés pour relancer les autres, ils donnaient à voir avec justesse une classe réelle, comme si nous faisions partie des leurs, comme si c'était leur réalité et non une pièce de théâtre.
Et alors ? Cette jeune fille retournera-t-elle finalement dans son époque ? Cela, on ne le saura que si l'on va voir la représentation le 7 juin à Romilly. Ici, sans la scène finale, c'est à nous d'imaginer le dénouement...
Au vu des traces de bonne humeur que les jeunes nous ont laissées, parions qu'elle y parviendra !
Les photos sont visibles ICI
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